L’importation parallèle consiste à importer dans un pays des produits alors que l’entreprise fabricante ou détentrice de la marque n’en est pas informée, n’a pas donné son accord ou y est hostile.  Selon le système de distribution organisé localement, la commercialisation peut entraîner un préjudice d’image important pour l’entreprise concernée voire même ruiner sa réputation dans le pays en question.

En fonction de la législation locale et du fonctionnement du système judiciaire, la lutte contre l’importation parallèle peut s’avérer difficile à mener.  En effet ces importations ne tombent pas obligatoirement sous le coup de la législation locale et si tel est le cas le système judiciaire peut avoir d’autres priorités que traiter des problèmes de non respect de la réglementation sur la distribution de produits.

Toutes les entreprises exportatrices peuvent être touchées par les importations parallèles, y compris  provenant d’autres pays de l’Union Européenne !

Que la situation se déroule sur le plan judiciaire ou que l’objectif soit d’imposer à l’importateur non déclaré un accord de distribution officielle, l’entreprise doit constituer un dossier solide avant de s’engager dans une démarche plus avant. Elle doit utiliser un outil de lutte contre les importations parallèles permettant de collecter des preuves tangibles et non contestables par la partie adverse, avec une technologie sûre et mobile telle la RFID.

La solution PREMIUM TRACKER s’intègre facilement sur les étiquettes des emballages et des produits avec des tags RFID pouvant être intégrés de manière discrète. A l’aide d’un simple smartphone il est possible de « lire » l’étiquette RFID avant de se connecter à la base de données des fabrications via un accès sécurisé pour vérifier si le produit acheté ou scanné fait bien partie intégrante des productions de l’entreprise.